17 juillet 2007

Chers blogoslecteurs,

Ces derniers mois, je vous ai laissé avec de faux espoirs. Peut-être était-ce parce que je voulais moi-même m'en donner, ou que je n’arrivai pas à me détacher de notre relation extrêmement privilégiée. Vous êtes venus ici et venez encore dans le but d’y retrouver une nouvelle aventure, mais ces derniers temps, j'ai vécu une grande morosité au travail, qui ne me donnait pas envie de rien vous raconter.

Aujourd’hui, c’est bel et bien la fin de ce blogue. Je désire m’en libérer l’esprit pour le rendre disponible aux miles et un projet que j’ai en tête.

Vous avez été une grande source d’inspiration et de motivation. Je vais garder ces moments parmi les meilleurs souvenirs de ma modeste vie.

Merci pour tout, pour votre assiduité, pour vos bons mots, pour vos encouragements, pour vos farces et vos rires perceptibles derrière mon écran. Je les garderai en mémoire longtemps.

Sandra Doyon

Les archives resteront le temps que la postérité les endurera. Mais les commentaires seront bientôt désactivés. Pour me donner de vos nouvelles, mon courriel, lui, restera. sandra_doyon sur yahoo.ca

02 juillet 2007

Quatre écrivains que je lirais encore et encore

  • Anna Galvada – « Je voudrais que quelqu’un m’attende quelque part » et « Ensemble c’est tout ». Pour la tendresse, l’amitié, l’amour, l’entraide.

  • Alexandre Dumas – Le comte de Monte-Cristo. Pour son incroyable sens du scénario, pour l’histoire captivante. Pour la démonstration de l’expression : « la vengeance est un plat qui se mange froid ». Pour le plaisir coupable de voir ses ennemis tomber sous ses plans si finement pensés.

  • Gabrielle Roy – «La détresse et l’enchantement» et « Ces enfants de ma vie ». Pour la poésie, pour son humilité et son intelligence littéraire, pour ses phrases efficaces et bien tournées, pour la rime subtile qui ajoute de la musique à ses textes (dans « C’est enfants de ma vie »).

  • Carlos Ruiz Zafón – «L’ombre du vent». Pour me rappeler Barcelone, pour avoir quelques frissons. Pour l’ambiance parfois lugubre du quartier gothique, pour l’histoire et accessoirement l'intrigue.

Et vous?